C’est le moment d’essayer des probiotiques

Votre corps contient beaucoup de bons et de mauvais microbes – les mauvais vous nuisent-ils? On peut les comparer à une superproduction cinématographique, la bataille épique entre le bon et le mauvais qui sommeillent à l’intérieur de votre corps tous les jours. À l’intérieur de votre bouche, de vos intestins, de vos voies urinaires, et chez les femmes, de votre vagin, il y a 100 milliards de microbes qui combattent l’espace dans votre corps. Collectivement, les scientistes les appellent les microbes de votre microbiome.

Qui gagne? Vous pouvez le dire d’après la façon dont vous vous sentez. Selon une étude de 2014, le microbiome (les microorganismes dans un environnement en particulier, notamment le corps ou une partie du corps) influence la santé du corps de plusieurs façons : des caries dentaires aux gaz digestifs, et de l’eczéma à l’humeur. Les microbes dans vos intestins peuvent gravement nuire à votre santé. Attrapez du maïs soufflé et continuez de lire! Découvrez comment nuire aux méchants et regagner votre santé!

Tout comme une galaxie, votre corps est un vaste endroit dans lequel les microbes tentent de se trouver une place. Les vilains de cette bataille sont de mauvais microbes, notamment l’E. coli ou salmonelle. Ils crachent des substances nocives et viennent perturber le corps. Les héros sont les probiotiques, incluant ceux dans la famille des lactobacilles et des bactéries bifidus. Selon le Gastroenterologist’s Guide to Probiotics, revu par des pairs, les probiotiques travaillent fort pour maintenir votre corps en santé : ils favorisent la digestion des aliments, l’absorption des nutriments et la modulation du système immunitaire. Les probiotiques repoussent également les mauvais microbes. Incroyable! Il semble que les probiotiques ne sont pas seulement des héros, mais des superhéros.

S’assurer que les vastes confins de votre microbiome soient infiltrés par les superhéros nécessite un microbiome qui accueille une variété d’espèces de probiotiques. Par exemple, les bactéries bifidus préfèrent errer dans la partie inférieure des intestins alors que les lactobacilles sont présents en grand nombre dans un vagin sain. ProBio Supreme de Health First contient 14 espèces de probiotiques. Wow! ProBio Suprême de Health First contient certaines des espèces extrêmement bien documentées, notamment le lactobacilli plantarum, le lactobacilli acidophilus et le bifidobacterium longum.

Comme toutes les batailles épiques, les chiffres peuvent être un facteur important. Mesurés en cellules souches omnipotentes (CFU), les probiotiques offrent des bienfaits pour la santé lorsqu’ils sont administrés en quantités suffisantes. ProBio Supreme de Health First est une bonne source de probiotiques; chaque capsule contient 55 milliards de CFU. C’est beaucoup de combativité pour défier ce qui vous embête.

Mais, comment choisir un probiotique?

1) Visez juste

Si vous désirez obtenir un bienfait spécifique (par exemple un probiotique associé à l’apaisement de la diarrhée), recherchez ceux qui répondent à vos besoins.

2) Vive la différence

Pour la santé en général, considérez que les intestins d’une personne contiennent une grande variété de probiotiques. Un complément contenant plusieurs espèces de probiotiques favorise une bonne flore intestinale.

3) Comptez bien

Pour être efficaces, les probiotiques doivent être administrés en quantités appropriées. Santé Canada recommande une dose minimale de 10 milliards de CFU.

4) La qualité avant tout

Choisissez une marque de probiotiques dont les espèces sont validées par la science, et qui est reconnue pour ses normes élevées en matière de pureté et de puissance.

5) Demandez de l’aide

Des détaillants d’aliments de santé de qualité ont du personnel compétent pour vous aider à choisir le bon complément. Visitez votre magasin Health First local pour obtenir de l’aide.

Que les « bons microbes » soient avec vous!

 

Références :

Front Microbiol. 2015; 6: 1050.
Clin Gastroenterol Hepatol. 2012 Sep; 10(9): 960–968.
Aust N Z J Psychiatry. 2015 Mar;49(3):207-14
Int J Mol Sci. 2015 Apr 2;16(4):7493-519
Am J Clin Nutr. 2004 Aug;80(2):245-56.
Am Fam Physician. 2008 Nov 1;78(9):1073-8.
BiomedJ.2014Sep-Oct;37(5)-259-68